A la découverte des membres de l’Agence de l’Eurométropole : Arnaud

On vous propose d’apprendre à mieux connaître l’Agence et ses membres. Qu’ils soient Wallons, Flamands ou Français, ils ont en commun une passion : le transfrontalier !

Ce mois-ci, on vous emmène à la rencontre d’Arnaud, stagiaire depuis début mars. 

Peux-tu te présenter en quelques mots ? 
Je m’appelle Arnaud Beucler, j’ai 23 ans et je suis en dernière année de cycle ingénieur à Lille. Etant lillois depuis mon plus jeune âge, je n’ai pu m’empêcher de rester dans la Métropole Européenne Lilloise (j’habite Saint André lez Lille).  

Lors de mes heures perdues, je suis bénévole à la protection civile du nord. C’est une association agréée de sécurité civile. Nous formons aux premiers gestes de secours, assurons des dispositifs de secours lors des manifestations culturelles et sportives et nous aidons les personnes impliquées lors des catastrophes naturelles.  

Qu’est-ce qui t’a donné envie de faire un stage à l’Eurométropole ?
Dans mon cursus scolaire, je dois effectuer 8 semaines à l’étranger afin de découvrir de nouvelles cultures et de sortir de ma zone de confort. Selon moi, il n’est pas nécessaire de partir à des milliers de Km pour découvrir une nouvelle culture.  

Est-ce que tu peux nous expliquer ta mission de stage ? Sur quoi est-ce que tu travailles ?
Ma mission principale au sein de l’Eurométropole est d’aider à la réalisation d’évènement. Ce qui me plaît le plus dans cette agence, c’est la taille de l’équipe et le travail réalisé par cette équipe composée de personnes venant de 3 versants différents avec des cultures différentes (Flandre, France et Wallonie). L’entraide et la bienveillance sont présents au sein de l’agence. On ne peut que s’y sentir bien.  

Qu’est-ce qui t’a le plus surpris dans ce stage / dans l’Agence ?
Lors de mon stage, j’ai découvert l’existence du Parc Bleu et l’ensemble des balades à faire à vélo, à pied ou en groupe. Sans ce stage, je n’aurai jamais découvert ce magnifique patrimoine.

Ton image de la frontière a-t-elle évolué au cours de ce stage ?
J’ai déjà constaté une différence notable entre mon premier jour de stage, où je me suis rendu à Kortrijk en voiture, et aujourd’hui, où je viens en train. Dans le premier cas de figure, la frontière reste très visible avec la multitude de panneaux ; dans le second, elle est invisible, on ne se rend même pas compte qu’on passe dans un autre pays.  

Depuis que je suis à l'Eurométropole, j’ai l’impression de ne plus voir cette frontière, les échanges se font spontanément sans réfléchir si la personne est française, wallonne, ou flamande.  

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