A la découverte des membres de l’Agence de l’Eurométropole

On vous propose d’apprendre à mieux connaître l’Agence et ses membres. Qu’ils soient Wallons, Flamands ou Français, ils ont en commun une passion : le transfrontalier !

C’est Paul, notre stagiaire depuis janvier, qui ouvre le bal cette semaine.

Peux-tu te présenter en quelques mots ?
Bonjour ! Je m’appelle Paul Leclercq, j’ai 21 ans et je suis actuellement étudiant en master d’Urbanisme et Aménagement, parcours Programmation urbaine et mobilité durable, à l’université de Lille.  Avant ça, j’ai fait une licence de Géographie Aménagement. J’habite Lille et j’ai d’ailleurs toujours vécu dans la région lilloise.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de faire un stage à l’Eurométropole ?
Je connaissais l’existence de l’Eurométropole et au moment de chercher un stage, j’ai envoyé une candidature spontanée. Je me disais que ça pouvait être une belle structure pour apprendre et voir des choses différentes, notamment grâce au statut particulier transfrontalier de l’Agence. La mission proposée par Séverine Flahault, ma tutrice de stage, m’a plu, et j’ai ensuite été pris.

Est-ce que tu peux nous expliquer ta mission de stage ? Sur quoi est-ce que tu travailles ?
Mon stage dure 3 mois (de janvier à mars) et ma mission est d’identifier les hiatus cyclables transfrontaliers, c’est à dire les endroits sur la frontière où il manque un aménagement cyclable (piste, voie, marquage au sol...), puis de réaliser des cartes pour avoir une meilleure vision des choses et de faire des propositions d’aménagement.   Cette mission s'inscrit dans la démarche de dialogue transfrontalier entre les communes frontalières françaises et belges, pilotée par la Vice-Présidente Hélène Moeneclaey. Mon travail final consistera à compiler tous les hiatus et propositions d’aménagement dans un dossier. Dans ce cadre, je vais à la rencontre des communes afin de recueillir leurs besoins, auprès d’interlocuteurs qui connaissent leur territoire, tant du côté belge que du côté français. J’essaie aussi de mettre en relation les communes voisines de part et d’autre de la frontière. Et ces dernières sont très réceptives et motivées pour organiser ces rencontres !

Qu’est-ce qui t’a le plus surpris dans ce stage / dans l’Agence ?
J’ai été surpris par toutes les actions réalisées par l’Eurométropole, beaucoup de choses que je ne connaissais pas mais surtout par le fait que ça ne soit qu’une équipe de 8 personnes pour un territoire aussi grand.

Ton image de la frontière a-t-elle évolué au cours de ce stage ?
Je ne pensais pas que la frontière Franco-Belge était autant une “frontière” vécue, où chacun vit de son côté sans parler au voisin. J’avais l’impression qu’il y avait davantage de discussions, alors qu’en réalité le réflexe n’est pas encore entièrement là.

Un fun fact sur toi ?
Bien que lillois, je suis un grand fan de l’équipe de football de l’Olympique Lyonnais.

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